Les 40 ans de Développement et Paix

Publié le par Albert Dugas

 
Tiré du Prions en " Église de mars 2007." 
 
" Le développement est le nouveau nom de la paix", écrivait , en 1967, le pape Paul VI dans son encyclique Populorun progressio. Cette phrase-choc allait dorénavant désigner l’organisme d’aide aux pays pauvres que les évêques du Canada créèrent au lendemain du concile Vatican II. Développement et Paix se voyait confier la mission " d’atteindre tous les catholiques, en chaque diocèse, même en chaque paroisse, et, par diverses activités d’information, de formation et de contribution à un fonds commun, les engager dans la grande œuvre du développement des peuples." Quarante ans plus tard, plus de 14 000 projets de développement, comme des programmes d’alphabétisation, de promotion des femmes, de défense des droits des autochtones, on été appuyés financièrement, une contribution de plus de 475 millions de dollars.
 
Au-delà des données financières, il faut aussi rappeler l’impact des nombreuses campagnes éducatives auxquelles Développement et Paix a convié les catholiques du Canada au fil des années. Qui se souvient de cette chaîne de lettres adressées à ces grand-mamans d’Argentine sans nouvelles de leurs proches disparus sous le règnes militaires? D’autres se rappelleront l’émouvante lettre reçue de Nelson Mandala, ce prisonnier devenu président d'Afrique du Sud, qui remercie les membres du réseau de Développement et Paix pour avoir trvaillé sans relâche à faire connaître les conditions de vie sous l’apartheid. Quarante ans plus tard, Développement et Paix invite encore les catholique à s’engager " dans la grande œuvre du développement des peuples ".
Hélène Gobeil, développement et Paix.
 
 
 
 
 
 
 
 

Publié dans Église

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